2024-03-08 Vendredi, Jour 51. De Moalboal à Maya port et Malapascua
Lever vers 6h. On va déjeuner à 7h et on se fait préparer un sandwich pour ce midi qu’on mangera en roulant.
Nous quittons avec notre chauffeur privé à 8h et longeons la côte ouest de Cebu jusqu’à Maya Port où l’on arrive à 13h. Un seul petit arrêt santé de 10 minutes durant tout le trajet.
Au port de Maya Port, le nouveau, on paie la taxe écologique (3$ environ par personne) et on s’achète un billet pour le bateau (5$ pp). La traversée dure environ 45 minutes par une mer relativement calme avec des vents de 14-20 km/h. Deux fois moins que la semaine dernière! Ouf!
Nous débarquons sur la plage de Malapascua au sud de l’île du même nom. Et là, on se rend à pied à l’hôtel Malapascua Garden Resort par de toutes petites ruelles bien étroites dont plusieurs bien ensablées. Une quinzaine de minutes de marche avec les bagages qui roulent mal dans le sable. Pas idéal!
L’hôtel est vraiment joli avec des chambres mignonnes et confortables autour d’une cour fleurie. Nous payons d’avance tout notre séjour par carte de crédit (avec supplément de 3%) ce qui fait qu’on devrait avoir suffisamment de peso pour terminer notre voyage.
Vers 16h je vais faire un peu de repérage pour les restaurants et les boutiques de plongées. Ce ne sont pas les boutiques de plongées qui manquent. Il doit y en avoir entre 12 et 20 sur l’île. La première boutique n’a plus de place pour les quatre jours à venir. On me réfère à la boutique voisine qui m’offre différentes possibilités et qui me renseignent aussi sur le snorkeling autour de l’île. Par rapport aux autres sites aux Philippines cela semble un peu plus cher mais ce n’est qu’une fraction du coût des plongées au Canada. Environ 50% moins cher. Et il faut dire qu’il y a une taxe d’environ 7,50$ par jour pour la plongée et de 1,25$ pour le snorkeling qui est incluse.
À 17h15, nous partons tous pour la plage qui est au sud où nous prenons un apéro avec la lumière du soleil couchant plus à l’ouest. Puis nous nous dirigeons vers le marché où des restaurants en plein air offrent des grillades au choix sur charbon de bois. Nous optons pour le restaurant Avrill’s qui est très bien noté du Google avec d’excellents avis. Paule et Martin prennent du poulet alors qu’Hélène et moi ne pouvons résister à une belle darne de maquereau espagnol et des brochettes de légumes variés. Ce fut vraiment très bon! Et très abordable soit environ 6$ par personne. On reviendra pour goûter à autre chose un autre soir…
Nous revenons à l’hôtel vers 20h pour une tisane sur la galerie de nos voisins et ensuite c’est l’heure de la lecture et de l’écriture.
2024-03-09 Samedi, Jour 52. Malapascua
Lever vers 6h. Quelques Facetime ce matin et on va déjeuner à 7h30. Vers 9h30 nous partons tous pour aller à la plage Angelina située du côté ouest de l’île. Hélène et moi allons snorkeler dans le sanctuaire marin pendant que Paule et Martin gardent nos biens sur la rive. Moins de 20 minutes plus tard, nous sommes revenus très déçus : pas de corail, peu de poissons et la visibilité est très médiocre aujourd’hui. On aurait peut-être dû pousser un peu plus au nord car plusieurs ont vu des petits requins à queue noire qui reposaient au fond. On se reprendra possiblement dans quelques jours.
Nous décidons donc de prendre quatre motos-taxis pour nous rendre tout au nord de l’île à la plage Langub. Nous marchons sur la plage et allons voir deux autres petites plages plus à l’est. On voit partout des signes du désastre qu’a causé le typhon de 2013. Nous marchons aussi dans deux petits villages de pêcheurs, très pauvres et allons manger dans un petit restaurant sympathique de la grande plage, la Tablea de Lucrecia.
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Typhon Yolanda 2013 |
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Typhon Yolanda 2013 |
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Typhon Yolanda 2013 |
Nos motos reviennent nous chercher à 14h30. C’est du sport sur ces minuscules routes qu’on pourrait souvent qualifier de sentiers. On n’a qu’à bien se tenir! Pas de gêne mal placée, on enserre nos pilotes à la taille.
De retour à la chambre, petite douche et petite sieste. Je jase avec des voisins de chambre qui sont allés en plongée au cours des derniers jours. Ça me donne le goût d’y aller malgré les forts vents et les vagues. Puis je retourne au centre de plongée Devocean où je remplis les formulaires légaux et essaie l’équipement pour la journée de demain.
Vers 17h30, on va à l’est de l’île au resto chez Craic qui selon la publicité serait un pub irlandais. Ça n’en n’a pas l’air du tout mais l’accueil est chaleureux et il y a des tables directement sur la plage. Nous prenons un apéro et commandons nos repas. Lorsqu’ils nous servent les plats, un gros nuage se met à dégouter. On se transfère donc à l’abri de la pluie près du bar, toujours dans le sable mais bien protégé des intempéries. La pluie dure quelques minutes seulement.
Nous mangeons très bien et revenons par les petites rues mal éclairées vers le marché qui est bien animé. On y fait quelques provisions puis on retourne à l’hôtel. Je prépare mes affaires pour demain dont des gravols en pilules et même en suppositoires en cas de force majeure. On verra bien mais on annonce encore de forts vents pour demain et je ne veux pas prendre la chance de ruiner ma journée avec le mal de mer. J’ai déjà donné à ce chapitre à quelques reprises…
Coucher vers 21h30 lorsque les yeux ne veulent plus lire ou que le cerveau n’arrive plus à assimiler le texte.
2024-03-10 Dimanche, Jour 53. Malapascua et l’Île Gato
Lever vers 5h30. Déjeuner à 7h30 et je pars au centre de plongée à 8h. J’essaie la combinaison qui manquait hier soir et tout est parfait. On monte dans le bateau-navette à 8h30. Mais il a fallu deux autres navettes car ils avaient oublié du matériel..
La mer n’est pas trop agitée. On se dirige dans la grande banca vers l’Île Gato situé à 15 km vers le nord. On y arrive 45 minutes plus tard.
Nous y faisons trois plongées :
Première plongée : Le côté sud. On y voit 3 beaux gros requins à pointe-blanche d’un 1,5 m environ qui se reposent au fond, séparément. L’un d’entre eux prend peur et on le voit passer près de nous au bord du mur de l’île.
Le corail mou abonde ainsi que les bivalves et les éponges. Il y a peu de poissons mais on voit tout de même quelques rascasses (lion fish). Et quelques invertébrés : crevettes, bernard-l’ermites, nudibranches, etc.
Deuxième plongée : Le tunnel. On commence par entrer dans une grande grotte. L’entrée permet de nager à la surface et on arrive dans une grande chambre où volent des chauves-souris. L’eau est très limpide ici. Un autre groupe de plongeurs ont descendus avant l’entrée et ils manquent ce beau spectacle. Nous descendons et passons dans le tunnel de 30 m de longueur qui traverse de l’autre côté de l’île. Wow! Juste un problème, ma lampe n’éclairait pas assez car les batteries étaient trop faibles. Dommage! Je ne paierai certainement la location!
On termine la plongée en faisant le tour de l’île vers le sud où est le bateau. En passant, un superbe corail s’élève du fond sablonneux. Et sur celui-ci, quatre minuscules hippocampes dont une avec une grosse bedaine pleine d’œufs. Et on remonte dans une grotte. Super! Mais il a fallu nager pas mal pour aller au large et pour que le bateau nous voit. Un peu fatigant avec le courant. Somme toute, très belle plongée.
C’est l’heure de diner. Une cuisinière nous a préparé un bon repas avec des viandes , des légumes, du riz et des nouilles. Tout est bon! J’ai faim!!!
Troisième plongée : Après dîner, le côté nord. Moins à dire sur cette plongée qui s’est très bien déroulée. Aucun inconfort, beaux coraux, quelques rascasses, poissons, bivalve électrique, etc. Les vagues sont plus fortes à la sortie. C’est très sportif de remonter au bateau. Heureusement notre maître-plongeur nous aide à pour enlever les palmes avant de remonter dans l’échelle. Et là, un aide nous donne le bras pour aider à gravir les marches et conserver l’équilibre. Du très bon service!
Nous revenons vers 15h30 au centre de plongée. Je fais quelques vérifications pour la sortie de demain à laquelle je suis inscrit et je me fais changer de groupe car ils m’avaient mis dans une équipe moins avancée et limitée dans la profondeur maximale. Je préfère être avec une équipe de plongeurs avancés comme moi. Plus de possibilités et probablement plus sécuritaire aussi.
Après la douche à l’hôtel nous partons tous les quatre pour aller prendre l’apéro et voir le coucher de soleil. Mais on a des problèmes à trouver la bonne place. Ce n’est que le quatrième bar qui nous plait à tous. Et comme le soleil se couche dans un épais mur de nuages, en autant que nous sommes en bord de mer, c’est parfait!
Nous retournons souper au marché ce soir. Chez Avrill’s. Encore très bon mais le karaoke d’à côté finit par nous tomber sur le gros nerf. Des chanteuses et des chanteurs qui chantent faux, personne n’aime ça…
De retour à la chambre vers 20h. Écriture, lecture, carnet de plongées, et dodo à 21h. Je me lève à 4h45 demain matin…
2024-03-11 Lundi, Jour 54. Malapascua et les hauts-fonds Kimud et Monad
Lever vers 4h15. Je pars peu avant 5h pour me rendre au Centre de plongée. La liste est parfaite pour moi et plongerai avec April et 3 autres plongeurs avancés.
Nous partons en banca avec un peu de retard pour nous rendre à 15 km vers l’ouest au haut-fond Kimud.
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Jean, no 2 du premier groupe avec Avril sur le premier bateau de cinq pour ce centre de plongée seulement |
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Lever de soleil en se dirigeant vers le haut-fond Kimud
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Déjà quelques bateaux sont là à 6h30. Il y en aura bientôt 16, soit près de 250 plongeurs! |
À 7h09, je suis le premier à l’eau et pendant que j’attends les autres à 2m de profondeur, agrippé après la corde de la bouée où nous sommes attachés, je vois deux beaux gros requins renards (Thresher Sharks) passer sous moi. Wow! Je ne peux crier pour appeler les autres.
Ils arrivent enfin et on descend. Ce sont au moins une vingtaine d’observation de requins-renards longs de 3 à 4 m avec la queue, qu’on fera durant la plongée de 48 minutes (maximum 23 m). Avant la pandémie, les plongées se faisaient toutes au haut-fond Monad et pour les voir il fallait être très chanceux et aller à près de 30 m de profondeur. Mais faute de requins, quelqu’un a trouvé ce site merveilleux où on peut les observer facilement à 18-20 de profondeur. En prime, des tonnes de poissons qui nagent entre deux eaux dont des bancs de thons argentés, de thons jaunes et de barracudas. Wow!!!
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Requin-renard, photo d'internet |
La seconde plongée, à 10h00 se fait au même site avec les mêmes observations. Quel spectacle merveilleux! Je me sens privilégié! Autour de nous, il y a quinze autres bateaux de plongée qui sont arrimés. Ça fait 150 à 200 plongeurs en même temps sur le site! Occupé mais on sait maintenant pourquoi.
Nous revenons vers Malapascua et à mi-chemin environ, nous arrêtons faire notre troisième plongée au haut-fond Monad. Quelques chanceux ont aperçu un requin-tigre au cours des derniers jours. Peu de chance d’en voir mais ça vaut la peine d’essayer.
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Carte du haut-fond Monad. Profondeur d'environ 16 à 23 m, entouré de fonds à 250 m et plus. |
Nous sautons à l’eau à 11h20, et nageons tout près du fond à 16 ou 17 m environ. ET……moins de cinq minutes plus tard, un gros requin surgit des profondeurs en remontant près du mur et il s’en vient vers nous. Un plongeur du groupe nous fait signe, excité au possible! C’est le requin-tigre!!! Un bétail qui mesure entre 3 et 3,2 m de long. Massif! Il passe juste devant moi à 5 ou 6 m. C’est bien assez proche pour l’admirer et distinguer parfaitement les rayures noires sur le côté de son corps qui ont inspiré son nom.
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Requin-tigre avec son remora; photo d'Internet |
Durant le briefing, April notre maître-plongeuse, nous avait bien indiqué quoi faire si on apercevait le requin-tigre : On descend au fond et on ne bouge pas!!!
C’est ce qu’on tous fait immédiatement. Car, lorsqu’il attaque, le requin-tigre fonce vers le haut, sa proie étant au dessus de lui. Apparemment ni vers le bas, ni directement. Je regarde en haut de nous et il y a au moins une dizaine de plongeurs qui flottent en surface ou entre deux eaux. J’espère que le requin n’a pas faim. Et heureusement, il ne s’est rien passé. Les pauvres plongeurs n’ont rien vu ni rien su.
Nous continuons notre plongée en regardant les superbes coraux sur le haut-fond mais pour ma part, d’un œil distrait. Je surveille attentivement tout autour de moi. C’est dur pour le cou car habituellement on regarde surtout vers le bas.
La visibilité devient mauvaise tout d’un coup. On tourne en rond et on ne revoit jamais plus le requin tigre. Rendus sur le bateau, on réalise qu’il n’y a que notre groupe qui l’avons vu. Nous sommes les Chanceux du jour. C’est un beau cadeau du hasard pour ma cinquantième plongée.
Je suis de retour au centre de plongée vers 13h30, je fais signer mon carnet, je paie et je vais rejoindre Paule, Hélène et Martin qui lunchent dans un restaurant tout près. De leur côté ils ont fait une très agréable tournée de l’île en bateau d’une durée de trois heures avec quatre arrêts pour faire du snorkeling. Tant mieux que tous soient satisfaits de leur journée!
Vers 15h nous sommes de retour à la chambre et c’est le moment d’une petite sieste bien méritée.
Après la sieste je fais les prévisions pour les besoins en pesos. On en aura un peu trop et il faudra en changer à l’aéroport avant de partir.
Nous partons vers 18h pour l’apéro à la plage, au même endroit qu’hier. Bonnes margaritas! Et nous soupons vers 19h30. Retour à l’hôtel par les petits sentiers pas ou peu éclairés avec l’aide de la torche des cellulaires.
Un peu de lecture mais le sommeil nous gagne très rapidement. Le snorkeling et la plongée fatiguent.
2024-03-12 Mardi, Jour 55. Malapascua
C’est notre dernier vrai jour de vacances. Dès demain on amorce le retour : Malpascua à Cebu city, puis Manille le lendemain et les longs vols en passant par Seoul et Toronto. Arrivée prévue à Québec vers 15h dimanche.
On se réveille vers 5h30. Pas capable de nous rendormir. Lecture matinale, appels au Québec, écriture et déjeuner vers 7h30.
À 10h nous allons tous les quatre au quai où nous trouvons rapidement un bateau pour nous emmener à la petite île Dakit Dakit où mes trois compagnons de voyage sont allés snorkeler hier. C’est le coin qu’ils avaient préféré et c’est tout près.
Nous passons une trentaine de minutes à nager autour des rochers au large de l’île, à admirer les beaux coraux, durs et mous, et les poissons dont quelques Némos et leurs anémones. Des poissons-clowns.
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Poissons-clowns dans leur anémone; Photo d'Internet |
Il y a un petit tunnel qui passe en dessous d’un gros rocher, long de 7 ou 8 mètres. Je m’amuse à le franchir à deux reprises. Pas vraiment un gros défi mais c’est aussi bien comme ça.
Notre capitaine Jevie nous amène ensuite sous le vent au bord de l’île proprement dite. Il y a des plongeurs qu’on voit sous nous dans l’eau moins limpide qu’au premier endroit. Joli les coraux le long de l’île mais on a vite tout regardé. On y passe 15 minutes environ.
Et finalement le capitaine nous laisse Martin et moi au sanctuaire marin au sud du quai. Celui où nous étions allés la première journée. Nous savons où aller pour observer les requins à pointe noire et on les trouve en une quinzaine de minutes. Il y en a au moins quatre, petits, qui tournent autour et en dessous de nous. C’est sans danger car ce sont des requins de récifs qui ne mangent que des petits poissons, surtout qu’ils sont eux-même plutôt petits. Cinquante centimètres peut-être et très élancés. On dit que les gros requins à pointe noire peuvent être dangereux. C’est loin des gros pointes blanches que j’ai vus à l’île Gato et encore plus loin des requins-renards et du requin-tigre d’hier sur les hauts-fonds.
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Requins à pointe noire; Photos d'Internet |
Nous revenons vers 12h15 à l’hôtel. Les filles ont débarqué sur la plage près du quai et sont déjà arrivées.
Peu avant 13h, nous partons diner au restaurant Exotic sur la plage côté est. Nous sommes à l’ombre des palmiers, les pieds dans le sable et faisons face à la mer tranquille de ce côté abrité. C’est magnifique comme lieu pour un dernier diner à la plage.
Nous revenons vers 14h30 et c’est l’heure d’une petite sieste. La chaleur et le snorkeling c’est exigeant physiquement.
En fin d’après-midi, nous préparons nos bagages pour demain. On range l’équipement de snorkeling au fond des valises. C’est bien terminé!
Nous allons prendre notre dernier apéro chez Amihan, un resto avec vue sur le quai et nous décidons d’y souper. Bonne décision car on a une belle vue, une petite brise et les plats sont délicieux. La pluie se met à tomber et on entre à l’intérieur. Le vin était très bon aussi. Une des rares fois où on en a bu dans ce voyage aux Philippines.
Pour le dessert, on va au restaurant Italien juste à côté, chez Angelina. Martin avait vu qu’ils offraient des gelati faites maison. Et en effet, les gelati étaient succulentes. Pour ma part la pannacota au chocolat était sublime. Un excellent dernier repas à Malapascua si l’on fait abstraction du petit-déjeuner bien ordinaire qu’on aura demain matin juste avant de quitter.
Nous sommes de retour vers 20h15 pendant une accalmie de pluie. Ouf! Je termine ma valise. Hélène avait préparé la sienne cet après-midi. Et vers 20h30 la pluie se met à tomber très fort! On a été chanceux! Cette pluie est une bénédiction pour les résidents car l’eau douce commence à manquer dans le village. Les puits sont à sec ou encore l’eau salée s’y est infiltrée. Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Espérons que nous serons au sec pour nous rendre au bateau demain matin, à pied avec les bagages…
Nous nous couchons vers 21h30 après un peu de lecture et d’écriture. On savoure nos derniers instants à Malapascua, un paradis pour la plongée.
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Je réponds habituellement rapidement et ce même quand le blogue date de quelques années... Jean